Un Week-End DEnfer.
Je mappelle Hélène... Jétais mariée depuis près de 10 ans. Il mest arrivé quelques fois de tromper mon mari, cest vrai... il y a quatre ans exactement jai eu une aventure formidable avec un homme, celui-ci ma permis de découvrir le côté salope qui sommeillait en moi. Nous faisions lamour dans des endroits insolites, bureaux, balcons... Au bout dun an de cette passion, je me suis lassée et jai décidé de reprendre le rôle dépouse fidèle.
Malheureusement, ou plutôt bien heureusement, quelques mois plus tard, je suis tombée amoureuse de Noël, un collaborateur de la société dans laquelle je travaille. Noël était plus jeune que moi, (deux ans) mais mattirait profondément. Je lui ai révélé mes sentiments un mois après et nous avons décidé de sortir ensemble.
Il me couvait à longueur de journée de regards amoureux et langoureux, et moi sachant que je tenais les cartes, lui imposais un traitement denfer...
Un petit message pour lui annoncer que je ne porte aucun dessous, un autre pour lui dire que jai la chatte en chaleur... il arrivait alors en courant et moi je le repoussais sans ménagement : Jaimais ça, il me lançait alors des regards suppliants pleins de désir, et moi méchamment je lui disais non.
Je cachais bien mon jeu, car sous mes airs froids et hautains, la bosse visible de son pantalon me laissait imaginer une queue impressionnante. Cela me mettait dans un émoi profond.
Plus le temps passait moins je résistais... un soir à la veille dun voyage, je ny tins plus.
Jenlevais Noël à sa belle, il était marié, et nous fîmes choix dun hôtel de banlieue.
Le trajet se déroulait dans un bus, serrés lun contre lautre dans un coin, Noël profitait de la pénombre pour me caresser les cuisses, ses mains douces dessinaient des cercles ronds, tout petits dabord et qui au fur et à mesure sagrandissaient. Je me sentais inondée par une douce chaleur. Noël savait sy prendre, sa main gravissait cm par cm lespace qui la séparait de mon intimité, mais sarrêtait juste à lentrée me laissant un sentiment dinassouvi ! Il le savait et il recommençait.
Mes mains se perdirent dans son pantalon duquel je sortis une queue, dune dimension impressionnante... il étouffa un gémissement et retroussa ma jupe, il me fit asseoir sur la table de la chambre, mon string fut simplement écarté et dun mouvement sec il me pénétra, cela déclencha en moi un orgasme violent. Les jambes sur ses épaules, Je me sentais pleine, bien remplie par cette queue qui me labourait sans ménagement. Noël poussait de petits cris, je pensais quil allait se libérer lorsquil se retira et me retourna sur la table, il joignit mes jambes et écarta les siennes autour des miennes, je le sentais dans toute sa longueur me pénétrer tout doucement et ressortir. Je sentais ses mouvements dans les profondeurs de mes chairs, il prenait son temps et moi je sentais le plaisir naître des extrémités de mes orteils et longer mon corps comme une bande de fourmis envahissantes, je le sentais inexorablement venir et monter sans trop savoir comment il exploserait. Je commençais à être prise de tremblements incontrôlés, mes jambes en coton me supportaient à peine, mes oreilles se mirent à bourdonner et je me sentais prête à exploser lorsque je sentis ses va et vient saccélérer, Il me tenait par les hanches, gémissant de plus en plus fort et cela contribuait à me rendre de plus en plus folle. Au moment ou je le senti exploser au fond de moi milles pétards explosèrent en moi. Je venais datteindre des sommets encore inexplorés de lextase.
Noël saffala sur moi et nous dûmes presque nous traîner sur le lit... pour reprendre notre souffle. Jessayais de me souvenir de ce qui sétait passé, mais pendant de longues minutes, mon esprit demeura embué par le plaisir. Je massoupis quelques instants plus tard...
Je fus réveillée par une douleur atroce au niveau du bassin.
Lheure de départ arrivait et jétais toujours là. Il métait impossible de rentrer chez moi, jétais supposée avoir pris le car depuis des heures. Noël ne pouvait pas non plus rester avec moi, sa femme devait déjà lattendre.
Au prix dun effort surhumain, nous pûmes arriver à la station où jempruntais péniblement un taxi. Javais beau me demander ce qui avait pu se passer, je ne trouvais aucune explication plausible.
Au bout dun voyage proche du calvaire, je me retrouvais à la maison, seule heureusement, mon époux en déplacement à létranger.
Jallais immédiatement au lit en priant que la douleur le matin ne fasse plus partie que dun triste souvenir ! Malheureusement je passais une nuit blanche, la douleur avait envahi mon ventre entier, mempêchant de faire le moindre mouvement. Je restais au lit toute la journée espérant que jirais mieux après avoir avalé quelques cachets. Rien ny fit, en début de soirée, je décidais de me rendre chez mon gynéco mais celui-ci était absent. En désespoir de cause, je consultais le bottin, Jen choisis un, espérant quil pourrait me recevoir.
Les formalités remplies, je dus attendre quelques minutes. Jétais assez angoissée, non seulement par cette douleur inexplicable, mais aussi par la peur de tomber sur un gynécologue affreux. Jétais dans mes réflexions lorsquune porte souvrit sur un monsieur à la blouse blanche, la quarantaine bien entamée, cheveux grisonnants, 1 mètre 85 environ, le torse large, involontairement je regardais ses mains, de belles mains, grandes et fines. Je me sentis immédiatement rassurée et lorsquil me fit un grand sourire de bienvenue je remerciais presque le ciel de ne pas avoir affaire à un vieux monsieur chauve et bedonnant.
- Alors Madame, je suis à vous.
Jessayais de me lever mais la douleur fut terrible, il me soutint par la taille et me mena à son cabinet.
- ça pas lair daller du tout... asseyez-vous et dites-moi comment vous vous sentez ; Je lui expliquais mes douleurs.
- Quavez vous fait avant ?
- un peu confuse je lui avouais, sans entrer dans les détails, que javais fait lamour.
- Ce nest rien, nous allons voir cela de plus prêt, entrez dans le box à côté et déshabillez-vous.
Ce qui au vu de mes douleurs était presque impossible, il dût maider à me déshabiller et à minstaller sur la table gynécologique.
- Alors, vous avez fait lamour un peu avant ?
- Oui docteur
- Avez-vous eu une émotion quelconque avant ou après ?
Je me souvins quavant on mavait annoncé la rechute de mon père diabétique ; je le lui dis.
- Je vois ce que cest mais il faut que je le confirme.
Alors nous allons commencer par les examens dusage, nous palperons dabord les seins (ce quil fit avec beaucoup de douceur) rien danormal.
Il sattaqua au ventre, le palpant doucement, ce qui marrachait quand même des cris de douleurs. Javais mal. Il secouait la tête : - je vois, cest bien ce que je pensais...
Il enfila une paire de gants et pris un spéculum, javais un peu peur, au fond je naimais pas trop tous ces engins, et ce dautant plus que jétais certaine davoir mal. Il le sentit et me rassura.
- Relâchez-vous... ça va aller,
Il me lenfonça délicatement et patiemment jattendis.
- Ce nest pas grave ; en fait vous ne faites pas beaucoup de sport, et dans un sourire taquin, qui lui découvrit une fossette, il ajouta, votre partenaire a entrepris de vous en faire faire un peu. Alors qui de vous deux voulait se venger de lautre ?
Gênée, je ne dis rien. Il continua.
- Cela vous est déjà arrivé ?
- Quoi ?
- Ce genre de douleur ?
- Non ;
- Avez-vous atteint lorgasme ?
Une fois de plus je gardais le silence
Il enleva le spéculum et huila ses gants.
-Comme je le pensais ce nest pas grave... Il mit deux doigts dans mon vagin en me massant le ventre !
- Ce nest pas grave, répéta-t-il, seuls les muscles du ventre ont pris un coup. Vous avez dû avoir un orgasme très violent qui vous a emmené à crisper violemment les muscles. Jétais abasourdie.
- Je me trompe ?
- Non, en effet, jai eu un orgasme assez fort. Ses mains continuaient leur besogne.
- Je vais vous faire un massage pour relâcher vos muscles et vous vous sentirez mieux, daccord ?
Il se mit debout à ma gauche et enfonça à nouveau deux doigts dans mon intimité. Il entreprit un lent, très lent va et vient en me massant le ventre.
- Cambrez-vous
- Relâchez
- Soulevez le fessier,
- Reposez-le
Et jobéissais... Sa main me pétrissait doucement la peau du ventre, en parfaite synchronisation avec ses doigts et les mouvements du bassin quil exigeait de moi. Une douce chaleur commençait à mirradier... Je nosais même pas y penser, de peur quil ne sen aperçoive.
Il se déplaça et vint entre mes cuisses écartées, les deux pieds posés sur les étriers, il recommença son mouvement. Jessayais de regarder son visage pour y déceler une quelconque émotion, rien du tout, il est vrai que la salle était plongée dans une semi-pénombre, mais il avait un air tellement professionnel que je commençais à me demander si ce nétait pas moi qui supposais le vice dans des gestes naturels. Comme je commençais à me crisper pour quil ne découvre pas mon état, il me dit :
- Laissez vous aller, Vous verrez ça ira nettement mieux.
Il prit un tabouret et sassis entre mes jambes, les doigts toujours bien enfouis au fond de moi. Il me tira vers le bas de la table de façon à ce que mon bassin dépasse légèrement les bords de la table.
- Cambrez-vous vers le bas, oui, remontez un peu... oui, encore, voila, continuez... là je mouillais vraiment, jétais morte de honte. Et sa main douce et chaude qui continuait inexorablement son massage sur mon ventre !!! Je nen revenais pas.
Il continua un bon moment ce traitement qui me liquéfiait littéralement le ventre.
-Alors descendez tout doucement vos jambes... il laissa un moment mon ventre mais garda ses doigts en moi. Il me posa les jambes sur ses cuisses (lui était encore assis). Je restai la moitié du dos sur la table, presque accroupie sur ses cuisses et le sexe béant sous son nez dans une cambrure dautant plus obscène quil accentuait lécartement de mes cuisses en ouvrant ou refermant les siennes selon son bon vouloir, il tournait maintenant ses doigts au fond de moi, me massant le ventre. Comme dans une danse bien synchronisée par le mouvement « décartement et fermeture » de ses propres jambes. Je ny tins plus et jeus un orgasme involontaire mais dune violence inouïe. Jétais mort de honte, il ne dit rien, et continua comme si rien ne sétait passé.
- Nous allons continuer, vous poserez doucement vos pieds bien à plat sur le plancher, lun après lautre... étirez-vous bien en essayant de laisser votre dos couché sur la table.
-Docteur, je vous en prie lui dis-je dans un murmure...
Jétais maintenant assise à califourchon sur lui le dos en arrière,
- Je vous en prie, cest affreusement gênant...
Laissez-vous aller, décrispez-vous. Sa voix était chaude, aucune émotion ny transparaissait ou peut-être que si... Mais linsolite de la situation mexcitait doublement !!! Je me faisais tripoter par un gynécologue !!!! Pendant une consultation.
Et ses doigts qui continuaient leurs va et vient, je devenais folle à essayer de me retenir. Sa main chaude longeât mon ventre et atteignit mon sein sur lequel elle se referma, je fus parcourue par une onde électrique. Sans réfléchir, Je me laissai aller confortablement sur ses deux doigts gantés et entrepris une auto masturbation en bonne et due forme... ondulant des hanches au rythme de mon plaisir, allant et venant le long de ses doigts selon mes envies. Plus rien nexistait que cette sensation qui menivrait, de sa main libre, il me pianotait le ventre, marrachant des soupirs et de petits cris... Cétait divin... je pris sa main libre et la collai à mon sein, pour mon troisième orgasme !!! Je maffalai. Délicatement, il me porta et me posa sur la table.
- Vous aurez besoin de vous remettre, me dit-il simplement. Il me fit clin dil et disparut.
Je reprenais mon souffle lorsquil réapparut ; je nosais pas le regarder après ce qui venait de se passer.
- Alors voyons si ça va mieux, levez-vous légèrement, voila, vous sentez quelque chose ?
-Oui, mais plus aussi fort. Et cétait vrai, la douleur avait disparue ou presque, il me sourit. Posa sa main chaude à plat sur mon ventre. Je ressentis comme une secousse... Il sourit encore découvrant une rangée de dents bien blanches.
Juste à cet instant il y eut une panne de courant et le cabinet fut plongé dans le noir. Il sortit en pestant et revint avec une lampe frontale... il la dirigea vers mon visage, descendit le rayon doucement jusqu'à mes seins... il sy attarda, de la main, il me palpa chaque sein éclairé, parcourut mon ventre... et sarrêta au niveau du pubis. Il me plia à nouveau les jambes et posa mes pieds sur les étriers... jétais là, complètement offerte... et très gênée, il meffleura lentrecuisse et sourit. Puis détendit mes jambes.
- Essayez de vous lever,
Jy parvins presque sans peine
- Alors ça va ?
Je navais plus aussi mal !!!!
- Marchez un peu
Jy arrivais sans trop de peine.
- Demain vous reviendrez pour une visite de contrôle, mais je crois que vous irez beaucoup mieux. En attendant... -il me tendit une ordonnance
- commencez le traitement dès ce soir.
Oui mais demain ? ?
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